STRIKEBREAKER (run pour Kaon)

Message sur le link crypté:

Code:

les employés de la fabrique processeur "Chip Net" de Puyallup sont en grève. Ils revendiquent des meilleurs revenus, ainsi que des conditions de sécurité drastiques.
Arranges toi pour que cette grève se termine dans les 72h. 3000 Nuyens de bonus en ce cas

Kaon avait profité de l'argent du dernier assassinat pour amélioré sa diète et celle de Lotus, il avait aussi commencé à rechercher un appartement plus spacieux. Le message de blake vint donc à point même si il fit hausser un sourcil à Kaon. Cette fois il allait jouer les briseur de grève, bizare comme boulot d'assassin, quoi que si la grève venait d'un chef charismatique.

72 heures, un boulot avec du temps autant ne pas en perdre, Kaon ramassa ses affaires vérifia que Lotus dormait et lui laissa un message avant de partir vers la fabrique tout en regardant avec son link à qui "Chip Net" appartenait et ce qu'il pouvait apprendre sur la grève.

Chip Net est une filiale de NeoNet.

Depuis une semaine, les ouvriers sont en grève, essayant de négocier des augmentations de 20%, ce qui les ferait dépasser le prix du marché, et ferait donc baisser les bénéf des actionnaires (Neo Net n'est que l'actionnaire majoritaire). Dans le même temps, les leaders du mouvement populaire mettent en avant une étdue sur un des alliages nécessaire à la fabrication de la majorité des processeurs fabriqués sur le site. Cet alliage, à force d'être manipulé, pourrait à long terme faire développer des maladies et des allergies aux ouvriers.
La direction pretexte que si on passe à un autre type d'alliage, il faudrait repenser toute l'usine et former le personnel, ce qui reviendrait aussi cher que d'en démarrer une de zéro.

Kaon arriva à l'usine au même moment ou il termina sa recherche sur la matrice sur la grève, ça semblait assez simple. Convaincre les dirigeants des gèviste de laisser tomber et détruire les preuves de ces recherches sur la toxicité des matériaux. Kaon s'arrêta pour voir si les grèviste était devant l'usine ou si il devrait passer par le syndicat pour savoir qui étaient les chef.

Il y a environs deux cents grévistes, en majorité hommes humains, mais il y a un peu de tout, qui sont positionnés devant l'entrée de l'usine.
Les accès au bâtiment ont été bloqués par des barricades ou des véhicules privés des grévistes. Et quelques feux de palettes sont répartis dans la cour pour permettre aux gens de se réchauffer malgré la pluie glaciale.

Près d'une berline de meilleure qualité, un petit groupe discute de manière sérieuse, alors que le reste des grévistes discutent plutôt le bout de gras tranquillement, se contentant d'être présents physiquement.

Kaon sourit et tente de s'approcher pour entendre le groupe plus sérieux tout en allant se réchauffer à un feu non loin.

- T'es qui toi?

Un gars bedonnant, mais aux muscles épais, accompagné d'un nain aux nombreux tatouages et percings viennent à ta rencontre dès que tu mets un pied dans la cour de l'entreprise.

Un curieux qui sympathise avec d'autres esclaves de la plex, Kaon avait mit son SIN Aztlan espérant au moins se faire passer pour quelqu'un d'ordinaire, dans le pire des cas... il avait sa coutellerie dans son sac. Au moins vous vous avez une chance.

Le gros le regardait toujours d'un air méfiant, mais le nain, piqué de cursiosité, demanda:

- une chance? Qu'est ce que tu veux dire l'elfe?

Le nain se grata la tête, le gros lui, retourna se poster à l'entrée de la cour, monter la garde.

- Je savais pas que c'était comme ça là bas. Qu'est-ce que tu fous ici, alors? demanda le nain

Le nain était content qu'on lui pose des questions et qu'on le valorise un peu:

- Ca fait dix ans que j'traine mon cul à bosser ici moi. Et je touche toujours la même misère à la fin, alors que ces bourgeois d'actionnaires, ils s'en mettent plein les fouilles. Alors on veut not' part.
Mais surtout, on travaille le ICT tous les jours. Et paraîtrait que ça favorise les malaises cardiaques et qu'on devra tous se mettre au pacemaker à cinquante piges... Alors qu'y existe d'autres alliages tout aussi performant. Mais ça ruinerait les bénéfs de tout ces couillons d'bureaucrates de mes deux... Faut pas s'foutre de nous!

Le nain bombe le torse:

- Ouais, bah, nous on a de la chance d'avoir Durand. (Il montre de la tête l'un des types près de la berline). Il est arrivé dans la boite il y a quatre mois, comme contremaître sur les chaines de montage. Il nous a tout de suite expliqué qu'il fallait pas bosser à la légère avec l'ICT, et il disait qu'on était sous payé par rapport à son ancienne boite de Portland. Il nous a dégotté un sponsor qui voulait bien nous financer pendant une quinzaine de jours, voir un mois. Le temps qu'on fasse plier ces enfoirés de cols blancs. Et c'est sur le point d'arriver... Une question de jours, maintenant! On lâchera pas!

Un sponsor pour une grève? vous avez de la chance vous croyez... non j'imagine qu'il n'aiderait pas aussi des Aztlan hein?. Kaon trouvait la discussion fort intéressante, il allait devoir tuer un contre-maître et possiblement un sponsor, une bonne journée de boulot.

- Bah, j'sais pas! Faut lui d'mander. Bon écoute, va le voir. Perso j'le connais pas trop, mais j'pense qu'y peut au moins t'conseiller mon gars. Bon, bah, faut qu'j'y retourne. Bon courage pour ta lutte! Et le nain retourne près du portail rejoindre son copain bedonnant.

Kaon s'approcha pour voir ce Durand de plus près et l'étudier dans le but de lui tendre une ambuscade plus tard et de le tuer.

Tu n'as pas le temps de t'approcher que la discution s'arrête. Durand discute avec un elfe, et deux autres ouvriers restent légèrement en retrait.

Durant te demande: Ouais? Je peux quelque chose pour toi?

Kaon recula d'un pas comme s'il se sentait fautif. Je ...enfin on m'a dit que... non désolé. Kaon alla pour s'éloigner préférant utiliser l'excuse du travailleur Aztlan effrayé jusqu'au bout et orbserver de loin.

Durand regarda Kaon, surpris, puis haussa les épaules et repris sa discution avec l'elfe.

A ce que tu comprends, ce dernier est un journaliste web qui fait une énième interview.

Kaon resta donc en retrait attendant que Durand soit seul ou retourne chez lui. (il a de la cyber il est éveillé?)

(pas éveillé. Un peu de bioware pour augmenter force et réflexes, mais rien de méchant)

Le piquet de grève dure jusqu'en fin d'aprés midi. A cette heure, d'autres ouvriers arrivent et ceux déjà présent remontent dans leurs véhicules et rentrent chez eux. Durand monte dans sa berline et quitte également l'endroit

Kaon prit un taxi pour suivre Durand raisonnant qu'il pourrait le convaincre une fois à destination.

La berline de Durand rentre dans le parking sous terrain d'un immeuble de classe moyenne de Puyallup. Ton taxi se gare devant le même immeuble, mais il te faudra rentrer dedans. Le parking sous terrain comme l'entrée de base de l'immeuble sont fermés par des portes avec maglocks.