Section street

Carter reflechissa un instant.

-Ecoutes, je serais pour d'abord proposer à tes pots de nous rejoindre. Et mettons qu'ils disent oui. Je suis venu en Van. On va voir le decker et pendant le trajet tu leur expliques les détails du contrat pendant que je conduit. Mon homme se trouve sur Auburn. On en as au moins pour 2 heures de routes.

Carter en avait ras le cul de cette histoire. S'il pouvait la regler ce soir se serait tant mieux

- Je pense que si on peut remonter jusqu'a Simus ce soir. Profitons en. Il ne s'y attendra pas... Et puis, si jamais on peut pas le faire ce soir. Au moins on aura baliser le chemin. Qu'en dis tu ?

Goldmos fit un signe de tête pour confirmer le plan, et dit à Carter:

-Je crois qu'il va falloir passer à ma clinique un peu le temps de "réparer" certaine personne , mais je crois que cela serait bien. Je vais les rejoindre de ce pas.

Goldmos se dirigea vers la piste de danse et tenta de dire au 2 autres:

-Venez en retrait j'ai peut-être quelques propositions qui pourrait vous intéressez. Il dit cela assez fort pour qu'ils l'entendent clairement.

Eugène était un peu mal à l’aise, il voyait bien qu’un lien intense unissait Missa et Goldmos et se senti soudainement de trop. Il regarda les deux amis se parler et dans toute sa naïveté ne compris pas les allusions que les deux se lançait, malgré le manque de subtilité des paroles. Il finit son verre de pheonix, qu’il détesta dès la première gorgé, mais par politesse le vida tout de même.

- Vous connaissez Ivy? Je la revoie souvent, c’est une bonne amie. C’est vrai qu’elle est adorable.

Puis il laissa la conversation continuer. Il ne savait pas vraiment quoi dire, il ne se sentait pas à sa place. Il posa une main sur la cuisse de Missa lorsque celle-ci les invita sur la piste de danse :

- Je ne vous connais pas assez pour vous aimez, mais je suis prêt à vous suivre.

Dit-il avec un sourire qu’il tenta de rendre charmeur, avant de ce lever pour la suivre sur la piste de danse, et en espérant qu’elle comprendrait l’humour. Une fois sur la piste de danse, il se senti encore plus perdu. Il n’avait jamais compris les principes de la danse. Pour lui, la danse se résumait à des voles planées, des pirouettes aériennes, lors des danses nuptiales pour charmer les jolies femelles corbeaux. Il regarda autour de lui et tenta de reproduire les gestes barbares, à ses yeux, des autres danseurs. Ce qui donna un résultat plutôt médiocre, mais fort amusant. Ce sentant réellement ridicule, il chercha Goldmos du regard et se dirigea vers lui alors que ce dernier avancait aussi vers eux. Il écouta sa proposition.

- J’ai perdu mon ancien patron de vue depuis un certain temps et je me demandais justement si vous pouviez penser à moi la prochaine fois que vous avez besoin de mercenaires...

-Justement, je crois avoir quelque pour toi ce soir ou demain si tu es disponible. Cependant, je dois t'avertir tout de suite cela ne sera pas un coli, ni du babysitting. Cela va être du vrai de vrai. Te sens-tu prêt pour une de tes plus palpitantes sortis?

Goldmos attendit la réponse d'Eugène en regardant si Missa allait les rejoindre.

Eugène devint tout sourire. Il agita ses pieds comme un oiseau, tourna la tête en tout sens et afficha un regard amusé.

- Mais bien sur que je me sens prêt! Vous parlez à un homme qui a déjà combattu des esprits insectes. Et, malgré que je n’es point autant d’expérience dans le domaine que vous et Missa, je ne crois pas pouvoir rencontrer des créatures plus affreuses dans les rues de Seattle. Enfin, c’est toujours relatif, avec un peu de volonté, probablement que je pourrais en trouver, mais je m’égare. J’accepte! Umm non, ce n’est pas ainsi que ca fonctionne pas vrai? Oh et puis, peut importe, je suis un peu perdu depuis que je n’ai plus de chef, alors je vous suis, peu-importe la destination.

Eugène était heureux de pouvoir travailler au coté de Goldmos. En t’en que corbeau, il avait toujours suivit les lois de la hiérarchie, et loin d'être un chef né, il se sentait toujours plus à l’aise avec un vrai chef pour le guidé. Il voyait en Goldmos un chef puissant, beaucoup plus que son ancien.

Missa ne vit pas le signe de Goldmos.
Elle dansait. Comme si elle était en transe, elle enchaînait les coups de hanches, les pieds, et les bras de façon sexy et agile. Après quelques minutes, elle ouvrit les yeux. Elle était seule.

- Merde les lâcheurs! Triste, elle ralentit la danse et scruta parmis les gens qui s'interposaient.
Elle vit Eugène qui parlait à Goldmos et se fit un chemin vers ces derniers.

- Bon c'est pas la peine de me le dire, je vois bien que je vous intéresse pas ce soir, mais au moins merde aillez le front de me le dire!

Offusqué elle attendait leur réplique, des pistolets dans les yeux prête à lancer une rockette ou deux.

*mais ma fille... tu interesses tous les mecs de cette boite* Pensa t il amusé, en ecoutant les remarques de Missa.

Carter ne savait pas ce que pouvaient donner les amis de Goldmos lors d'une run. A vrai dire, il s'en foutait complètement. Tout ce qu'il voulait c'etait des pions à sacrifier en cas de problèmes. De la chair à cannon, rien de plus.

Il s'avanca vers Goldmos et lui chuchotta

- Peut être qu'il va falloir sortir les flingues ce soir, alors si l'on doit s'arreter quelque part pour qu'ils se fournissent, autant leur expliquer les règles du jeu dans le van. Je t attend dehors.

Carter se dirigea vers la sortie. En passant devant Missa, il la regarda avec insistance comme un lubrique tentant de la déshabiller mentalement.

- T'inquietes chérie... si tu veux un homme qui s'interesse à toi, au moins pour une nuit, voire 2 ou 3 heures... t'as qu'a me le dire, je me ferais un plaisir de te consoler.

Il ne s'arreta pas, et n'entendit pas la réponse... bientot il disparu dans la foule.

Goldmos se dit dans sa tête Je n'aurais jamais dit ça à Missa, même la connaissant... je ne crois pas qu'il sait à qui il parle. Goldmos se retournant vers Missa lui dit:

-Ce n'est pas que tu ne nous intéresse pas, cependant on serait peut-être sur un coup ce soir... on pourrait, si tu veux nous accompagner, passer à la clinique et soigner ton bras avant. As-tu besoin d'un peu de baston ce soir?

Goldmos attendait une réponse explosive de Missa, soit un oui de joie, sois un coup de pied la ou ça fait mal. Mais à toute réponse de Missa, il attendit qu'elle le lui dise.

Eugène regarda Missa d’un air perplexe. Ah les femmes humaines, ce qu’elles peuvent être ridicule, pensa t’il. Bien que les corbeaux avaient l’habitude de se trouver une compagne pour la vie, à ses yeux, les femmes n’étaient que des femelles créer pour assouvir les besoins sexuel de la gente masculine, et s’occuper des enfants, pour ne pas dire des œufs. Il fut un peu décourager de voir qu’assouvir ses besoins à lui avec cette Missa pourrait devenir plutôt compliquer et décida de laisser sa chance aux nombreux hommes qui devait la désirer dans le bar. Laissant Missa et Goldmos parler, il s’alluma une cigarette et rejoignit l’autre homme pour se diriger à l’extérieur avec lui.

- Bonsoir, vous pouvez m’appeler Raven, il me semble que nous allons travailler ensemble ce soir… à qui ai-je l’honneur?

Il regarda par dessus son épaule. Son visage n'exprimait rien.

-Je suis Carter...

Ils disparurent tout deux dans l'encolure de la porte d'entrée, se retrouvant sur le parking de la boite. Carter se dirigea vers son Van.

- Je sais pas si tu es venu en bagnole ou non. Mais ce soir, on va tous débarasser le plancher avec la mienne. Goldmos t'expliquera les détails lors du trajet. Montes à l'arriere.

Carter s'installa côté conducteur. L'avant était séparé de l'arrière par une cloison métallique. Une petite ouverture permettait d'avoir un aperçu de ce qui ce passait de chaques côtés.
Le van avait était amélioré techniquement. L'assiette abaissée, les parois etaient imperméable aux balles jusqu'au calibre 20. Les pneus bénéficiaient d'un système qui leur permettaient d'être plus ou moins stable même dégonflés. Enfin, une connection à la matrice etait possible ainsi que l'emplacement d'un drone. Cependant l'aspect global était plutot pauvre. On avait plus l'impression qu'il était en la possession d'un manouche regagnant son convoi de caravane. Plutot que d'un runner s'appretant à livrer combat pour sauver sa peau.
Carter attendait que Eugene rentre dans le van pour mieux l'observer. Sa façon d'être l'intriguait et cette méchante impression d'aversion commencait à lui bouffer le bide.

Missa, ne pris même pas la peine de répliquer à la remarque de cet inconnu. Bref elle en avait l'habitude. Elle suivit Eugène du regard tandis qu'il s'éloignait avec ce connard. Puis, elle s'approche de Goldmos et lui prend le poignet.

- T'es bien le seul ici qui me respecte vraiment. Son visage se changea dès qu'elle entendit sa proposition. Un coup ce soir?! Yah! Justement j'avais le goût de casser quelques têtes! Oui mon bras, merci beaucoup Goldie, et je devrai aller à ma moto. Dans mes sacs, j'ai tout le nécéssaire, même une paire de pantalons, ajouta-t-elle en souriant. Et j'imagine qu'on va travailler avec ce mec qui voulait me prêter sa qu.... sont corps? Bon ok oui, ça va mettre un peu de piquant. Et pis Goldie! Ça sera notre première Job depuis des lunes! Je veux pas manquer ça, c'est bien pour toi que j'y vais... pour mon désir de baston aussi j'avoue.

Allons-y. Le poignet de Goldie à la main elle avance vers la sortie. Elle prend le temps de saluer ces bons vieux Bill et Bob en leur envoyant un bec soufflé dans sa main.

Eugène prit place à l’arrière du van. Il devint quelque peu agité, poussé par sa curiosité, il regarda partout, souleva ce qui pouvait être soulevé, poussa ce qui pouvait être poussé et se colla le visage sur la vitre (si il y en a une à l'arrière) pour regarder ce qui se passait dehors. Il ressemblait à un oiseau agité par la découverte d’un nouvel endroit, bougeant la tête en tout sens comme si un prédateur pouvait surgir d’un buisson invisible. Puis soudainement, il reprit son calme, replaça son veston, balança la tête par en arrière pour ne plus avoir les cheveux dans les yeux. Il jeta un bref regard à Carter et tenta (si il y en a une) d’ouvrir la fenêtre avec ses mains, ne comprenant pas qu’il n’avait probablement qu’à appuyer sur un bouton si la fenêtre pouvait s’ouvrir. Il laissa finalement tomber et tenta de prendre un air décontracté, semblable au grand acteur de film de série médiocre, trop cool pour avoir l’air crédible et pas assez pour avoir l’air calme.

- On peut fumer dans votre véhicule? Est-ce que j’ai quelque chose de prit dans le bec... les dents, je veux dire… Pourquoi me regardez-vous avec ce regard?

Goldmos fut soulager par la remarque de Missa. Oui, biensûr, il la respecta sur plusieurs point, mais il la craigna aussi. Une femme qui tient le coeur de son homme peut soit le protéger, sois le broyer. Sa beauté et sa sensualité ne lui était pas étranger. Il se souvenait d'une certaine run ou ils avaient tenté de le faire craquer... bon cela marcha quelque peu mais grace à sa volonté, il n'y laissa pas grand chose pour les curieux. Tout semblait revenir comme avant, l'adrénaline ne faisait sentir dans son sang et il commença même à rire de façon inatendu, comme s'il était heureux d'affronter le danger face-à-face aux côter de sa compagne de run. À la vie, à la mort comme l'on faisait avant.

-Et bien, oui tu as raison, en partialité, car c'est aussi... ou plutôt pour moi que nous allons faire cette run. Je t'expliquerai les détails dans la van.

Il donna un high five à Bill et Bob en sortant, puis se dirigea vers la moto de Missa pour qu'elle puisse prendre ses choses. Mais Goldmos avait quelque chose qui lui trotait dans la tête, un petit quelque chose qu'il voulait clarifier avant de l'oublier complètement. Il s'avanca doucement vers Missa et lui dit sur un ton calme et un peu insécure:

-Je voulais te demander quelque chose avant de partir et d'oublier ce qu'il s'est passé ce soir, mais je veut seulement avoir une confirmation: pourquoi m'as-tu fait des avances ce soir alors que tu connais le genre de sentiment que j'ai de besoin pour que cela se passe... Est-ce que tu désirais vraiment le faire par confiance et "amour" ou simplement par manque de peau?

Se sachant maladroit dans ces cas là, il ne pouvait prévoir la réaction de Missa, mais au moins il serait à quoi elle pensait et à qui il avait à faire.

Carter tira une seche de sa veste et l'alluma.

- Non tu peux pas.

Il aspira deux bonnes lattes qu'il prit le temps d'apprecier. Il fixait Eugène et le regardait faire. *Où il l'a trouvé celui là?* se demenda t il en pensant à Goldmos.

- Je te regarde gros blaireau parce que justement t'as l'air d'un novice minable et que c'est les merdeux dans ton genre dont il faut se méfier. Le dernier que j'ai rencontré m'a bousillé mon squat.

Il baissa la vitre et tapa la cendre dehors.

- Tu vois je suis en train de me demandé ce que tu as vraiment dans le ventre. J'espere qu'il va pas falloir te bercer cette nuit parce que là où on va c'est pas Walt disney.

Carter ne machait pas ses mots parce qu'il le sentait pas. Il lui donnait l'impression d'être un touriste qui s'émerveillait devant une belle coutume locale. Ces putains de connards qui devennaient runners plus par curiosité que par nécéssité...

Mais le dernier qu'il avait croisé. Un dénommé Simus Rainhart lui avait laissé un mauvais gout dans la bouche, une odeur de souffre, de sang et de merde qu'il arrivait pas à faire disparaître.

- Taches de pas merder, parce que je ne m'arreterais pas pour sauver tes miches.

C'etait peut être présomptueux de la part de Carter, apres tout, il ne savait rien de cet homme et de ses capacités. Mais il voulait le provoquer pour voir s'il allait se ratatiner ou si au contraire il allait montré un esprit... plus combattif...

Eugène fixa longuement Carter. Il ne savait pas trop quoi en penser. Il démontrait un fort caractère, il n’y en avait pas de doute, mais était-ce du à des expériences passés douloureuses ou à un manque de confiance qu’il tentait de camoufler. N’ayant pas vraiment envie de philosopher pour le moment, il se dit qu’il découvrirait la réponse assez vite; la meilleure façon de connaître le caractère d’un métahumain, c’étais en voyant sa façons d’agir lors de situation dangereuse.

- Aux rouilles du fourreau ne jugez pas la lame.

Ne connaissant pas l’expérience de Carter, il ne savait pas s’il devait le considérer inférieure ou supérieure à lui, alors il préférait rester polie. Il regarda plus attentivement l’homme, pour voir ce qu’il pourrait découvrir de son aura. Puis il décida de s’allumer une cigarette à son tour, pour voir sa réaction.

(Hors-Jeu à Carter : Comme Eugène peu voir en astral, il veux savoir si tu es magiquement actif, si tu as des pièces cybernétique, etc.)

(Carter est un adepte qui se sert de sa magie pour augmenter ses capacités, actuellement, il est plutot stressé [pour sa planque et simus] et enervé)

Il ne répondit rien. Et se contenta de finir sa cigarette. Quelques longues minutes passèrent. En jettant quelques regard furtif vers l'arriere du van, il remarqua qu'Eugene s'était allumé une clope.

- Alors messire, on s'autorise à désobéir au propriétaire du siege sur lequel on a le cul posé ?

un sourire sadique se dessina sur le coin de ses lèvres.

- Vous ne devriez pas... cette merde aura votre peau un jour!

Carter en ce moment prècis se détendit un peu. La scène qui venait de se passer, avec du recul lui apparaissait maintenant comme totalement débile. De toute facon, le niveau du mec assis à coté de lui ne l'interessait pas vraiment. S'il devait mourrir pendant cette mission cela ne le regardait pas. Et s'il s'averait utile, alors tant mieux.

- Je suis Carter. T'auras besoin de matériel s'il y a du grabuge ?

Il regarda à l’extérieur pour voir si Goldmos et Missa arrivaient. En voyant l’aura de Carter, il su que ce dernier était entre autre un peu stressé, mais il n’était pas le seul.

- Si cela vous offusques vraiment, je peux bien l’éteindre, mais si vous me dites que c’est l’odeur qui vous déranges, je me poserai d’étranges questions. Et puis oui, je suppose que ca peut me tuer, mais je m’en fou.

Il ôta son veston et déboutonna son premier bouton de chemise. Il avait un peu chaud, et commençait à avoir hâte d’entrer dans l’action, si il y en avait, pour reprendre sa vrai forme et se dégourdir les ailes. Il se demandait encore s’il devait révéler ca vrai nature immédiatement ou garder la surprise pour plus tard. Les réactions face à sa vrai nature était parfois embarrassante, certaine personne avait peur, d’autre le détestait dès qu’il le savait. Il se retourna vers Carter.

- Non merci, je n’ai besoin d’aucun équipement. Mes armes son ici.

Dit-il, en levant les mains.

* c'est la période des soldes chez les magiciens et les chamanes...* se dit il. Il était la troisieme personne d'affilé qu'il rencontrait et qui se disait magicien ou autre.

- Très bien...

Carter régla son rétroviseur de facon a voir l'entrée des catacombes.
*Mais qu'est ce qu'ils foutent! il est allé se la faire dans les toilettes ou quoi!*
Il démarra pour faire chauffer le moteur.
puis lentement, il sortit son beretta et en inspecta l'état.

La question que Goldie venait de lui poser la piqua comme un moustique. Elle en sursauta presque.

- Tu me connais Goldie, je fais ça pour rigoler... et pas qu'à toi. Mais si tu veux mon avis sincère, étant donner notre stade relationnel, je ne dirais pas non à un souper à ce resto dans Bellevue... je ne me souviens plus du nom malheureusement. Elle disais ces paroles tout naturellement avec un calme désarmant. Un calme que l'on ne vois pas souvent au corps de la belle blonde. Puis elle ajoute:
- Mais tu sais quoi, on en reparlera! Puis elle lâche le poignet de Goldmos pour faire son chemin vers sa moto fraîchement cirée.
Je la laisse ici, j'imagine que nous avons déjà un véhicule... Elle désarme son super anti-vol et empoigne un sac en cuir. Je suis prête pour mon bras, doit-on aller à la clinique?

Pendant que Goldie parle, elle y est attentive et le suit.

Goldmos qui maintenant savait ou se trouvait les émotions de Missa pu se concentrer sur la "mission". Tout en se dirigeant vers la van, il lui dit:

-Oui, Carter, c'est le monsieurs ingrats, sait que nous devons passer à la clinique. Nous pourrons faire le briefing dans la van le temps de se rendre à la clinique.

Goldmos fit signe à Missa de le suivre vers une camionnette qui ressemblait à un tas de féraille. Sur le chemin, il lui dit:

-D'accord pour le resto puis il afficha un grand sourire.

Goldmos cogna sur la porte pour que celle-ci s'ouvre, et fit monter Missa en premier pour ensuite prendre un siège vacant. Il attendit que tout le monde soit assis et prêt à l'écouter avant de commencer.

Missa remercie Goldie pour sa galanterie, monte et scrute l'intérieur du véhicule en lancant:

- Ouais ya pas tout le monde qui font le magot dans ce boulot...

Elle s'assois, empoigne sont sac, l'ouvre en ajoute en regardant dans le rétro avant:

- Dis-donc.. eee... Carter oui. Où t'as acheter ton épave? C'est juste comme ça, parce que je voudrais pas me faire avoir moi non plus.

En attendant sa réaction, elle lance un joli cli d'oeil à Eugène à ses cotés. Elle plonge la main dans son sac et en sort un holder, des munitions et 2 rockettes. Ses spectateurs qui regardent la scène la voit soudain porter toute son attention vers celles-ci. Missa penche le cou, regarde à l'intérieur du sac et compte:

- Bon 2 ap... 3 hp... ok 4 de ça et oh je verrai ça à la clinique... Elle ferme soudain les yeux, dépose son bras sur sont autre bras en soutenant le coude et prend une pause.

- merde.. Mon bras commence à vraiment m'agacer, ajout-elle en grimacant.

Goldmos prit le temps de saluer tout le monde dans le van, puis dit à Carter de se diriger vers sa clinique. Lorsque celui-ci commença à rouler, Goldmos commença son explication:

-Bon, le topo est assez simple, premièrement cela ne sera pas du gateau je vous le dit tout de suite. Deuxièmement, on garde le tout top secret et troisièmement, pas de rouspetage ni de démission un coup que nous allonc commencer, nous sommes bien d'accord avec ces règles de bases?

Goldmos attendit une réponse, il continua:

-Premièrement, nous allons chasser un je-ne-sais-quoi qui semble peu ordinaire, je m'explique. Il y a un gars du nom de Simus qui est entré en contact avec un groupe que nous avions pour chasser une créature dans bellevue. Ce gars est venu au Catacombe puisqu'il se trouve mêler avec notre groupe et nous voulions simplement s'assurer qu'il ne dirait rien. Cependant, cela se déroula un peu de travers et nous finîmes par sortir les armes, et je lui pris un peu de sons sang. Cependant, je sais qu'il n'est pas magiquement actif, j'ai vérifier avec le sang, mais ce Simus nous à retrouver, Carter et moi, chez Carter lorsque je fut inviter à un souper. Évidement, nous avons tenu le coup, cependant il avait une genre de milice avec lui, très bien entraîner. Deuxièmement, je vis celui-ci dans un immeuble tout de suite après l'attaque et je lui lançai une manabolt pour le tuer, cependant elle fut anéhantit... et il n'y avait aucune trace de magie dans l'air: pas même une barrière astral. C'est là que les choses se compliquent. Simus à réussit à traquer Carter dans une de ses pioles secrète et l'a questionné. Il n'a pas cracher grand chose, mais tout le long de l'intérogatoire, il demandait ou j'étais situer ainsi qu'Alex. C'est ici que les grands moyens doivent être pris: ils savent ou se terrent Carter et ils savent que nous avons son sang cacher quelque part... mais il ne sait pas ou. Puisque je ne parvient pas à le retrouver en astral, nous avons demander à un deckeur de le retrouver grace à un tatoo que Carter apperçu sur les gardes. Il reçu ce soir un appel concernant ce fameux tatoo et il connait quelques endroits ou pourrait se terrer Simus. Notre mission, c'est de l'éliminer avant qu'il nous élimine, Alex et moi. Des questions?

Eugène regarda Missa assembler son fusil, si on pouvait appeler ca ainsi, d’un air perplexe. Il y a avait des rockets après ce machin? Pensa-t-il. Il voyait déjà les explosions qu’un tel engin pouvait faire. Puis, lorsque Goldmos commença à expliquer la mission, il porta toute son attention sur ce qu’il disait. L’histoire semblait étrange, il se demandait vraiment comment se Simus avait pu les retrouver si il n’était pas magiquement actif, à moins que ce dernier ai des contacts.

- Vous dites que ce Simus n’est pas magiquement actif? Et vous n’avez rien vue de magique autour de lui? Alors il y a très peu de chance qu’on se retrouve devant une barrière astral je suppose.

Il continua soudainement, sans laisser Goldmos répondre.

- Goldmos, croyez-vous que je devrais parler de ma…umm… nature… immédiatement aux deux autres?

Carter ne répondit pas aux remarques de Missa. Il se contenta de dire sur un ton sadique.

- Alors beauté, t'as réflechis à ma proposition ? 2 ou 3 heures pas plus... mon planning est chargé.

Il sortit du parking et se dirigea vers la clinique du mage.
Il écouta Goldmos parler sans rien dire. Mais quand Eugène prit a son tour la parole il ne put s'empecher de demander.

- Quelle nature !?

Décidement, il n'aimait pas du tout la tournure de cette phrase.

[la suite dans la partie clinique du forum svp]

Après quelques jours de détente dans un hotel et de shopping intense, surtout pour sa fille, et pour un nouvel apartement. Manolia alla voir au Cat comment il avait évolué. Depuis quel a vendu son gym et son gros condo, cet argent là c'est envolé rapidment durant son tour du monde, dans les derniers mois ces seules revenues était les entrées du catacombes transféré sur son compte et ses économies.

Il était tôt en soirée, ne pouvant pas attendre l'heure de pointe avec Rachel il serait trop tard surtout qu'elle ne lui a pas encore trouvée de gardienne.

[Dans le stationnement privé aux employés]

Le Hummer rentrant dans le stationnement réservé au propriétaire et dans une des place les plus large réservé a son hummer.

* Je sais pas si Goldmos serait capable de faire un esprit gardien NOUNOU hahahah sa serait drole a voir *

"Allez vient chérie nous y sommes là ou maman travail."

Rachel : "OK !"

*Putôt ou maman rencontre ses nouvelles emplois !*

[À l'entrée du bar]

*Bizzard pas de doorman surement parce qu'il n'ont pas commencé leur chiffre ou bien c'est une soirée tranquille.*

[Section Street]

*A date ça n'a pas changé à part les réno et les actualisations au goût du jour. Tiens ce barman je ne le connait pas.*

En avancant vers le contoire principale, elle leva la petite portion du bar qui permet d'aller à l'arrière où il y a le salon privé.

Barman : "Madame vous n'avez pas le droit de traversé de ce coté ci du conptoir"

Manolia l'ignorait complètement

Barman : "Madame ! Madame ?" Se raprochant rapidment

Manolia sortit sa clé pour cette section et enfonça sa passe magnétique dans la fente aura de la porte et entra.

Le barman avec un air ébêté ne poursuivant pas et venait surement de comprendre qui elle était. Il courra ensuite au téléphone le plus proche et composa un numéro avec frénisie. les clients les plus proche peuvent entendre :

"Oui madame elle est revenui"