Section street

Missa reste bouchebé. Elle en avait vue de toute les sortes, mais pas ce genre là... Bon il semble maladroit, mais il est entreprenant et articulé... j'aime ça, ce dit-elle.

- Si on se connait? Elle pose une main sur le bar et fait tourner sont tabouret pour fare face au jeune homme. Ses jambes sensuellement entrecroisées prennent appui sur la cuisse gauche d'Eugène. Il peut presque sentir la douceur de celles-ci traverser le tissus qui les séparent. Son verre à la main, elle pose sont regard chaud et aquatique à la fois interrogateur et mieleux droit dans celui de son interlocuteur.

Un moment passe... elle semble réfléchir tandis que sont regard se déplace de bas en haut du corps d'Eugène.

- C'est bien possible, je suis copropriétaire de la place et ceci est mon sanctuaire... elle fait signe à Alec qui se précipite. Ses somptueuses lèvres rosées affichent soudain un délicat sourire et demande,Tu bois quoi Eugène?

Eugène devint visiblement mal à l’aise. De la sueur perlait sur son front, il s’agitait nerveusement sur sa chaise en regardant un peu partout autour de lui. Il se gratta frénétiquement les cheveux comme un petit chien piteux. Il n’était pas laid, il le savait, mais ces habitudes maladroites et étranges n’avaient jamais eu un grand succès auprès des femmes. Habituellement, elles se contentaient de lui rire au nez ou au mieux de profiter de lui. Mais Missa ne semblait pas vouloir le repousser. Il supposa qu’elle voulait l’humilier, attendre le bon moment pour le blesser. Après tout les femmes étaient des êtres hypocrites et cruels. Mais dans toute sa naïveté enfantine, il repoussa cette idée loin dans son esprit, trop charmé par la beauté de la jeune femme devant lui. Il replaça son veston avant de la regarder dans les yeux.

- Je ne bois lorsque je vole, lui répondit-il en souriant bêtement.

Bien sur, elle ne devait pas comprendre la plaisanterie, il n’avait pas souvenir d’avoir révéler sa vrai nature à Missa. Il toussa un peu avant de continuer :

- Je prendrais bien un whisky.

mmm... il n'a pas garder sont air calme et faussement adroit longtemps, se dit-elle. Mais Missa adore chavirer et troubler non seulement les intentions, mais les personnes aussi... voir les tester, afin de creuser vers leur vrai nature. La plupart du temps cela fonctionne, surtout avec la gente masculine.

- T'as chaud? on est pourtant sous une bouche de climatiseur...

Puis après l'affirmation d'Eugène, sa première pensé est qu'il doit être un de ces mages rigolos.. un Goldmos junior... m'enfin pourquoi pas. "Après tout cela fait presque 2 mois que je n'ai pas baiser" se dit-elle.

- Une bouteille de vrai whisky Alec s'il te plait. Pour tomber dans une discussion terre à terre intéressante elle enchaîne, les motos ça t'intéresse?

Sans lui laisser le temps de répondre elle se penche doucement vers sont oreille gauche, la poitrine bien en vue et réplique, à quoi on jouait si j'ai déjà travaillé avec toi? Parce que visiblement, tu m'as pas l'air trop expérimenté alors probablement que je fesais du babysitting... ?? Sans vouloir te vexé.

Puis elle prend sa cigarette et la jette dans un vieux fond de verre. De toute évidance, il n'y a pas de cendrier dans cette section des Catacombes...

- Merci de ne pas fumer en ma compagnie. Une réplique d'adepte...

Un peu offusqué par les paroles de Missa, Eugène se leva et chercha désespérément une réplique cinglante qui ferait mouche. N’en trouvant pas, car naturellement, les belles répliques ne vous viens en tête que bien longtemps après le moment où vous en aviez besoin, il reprit place sur son banc. Il balaya le bar du regard de ses yeux gris, comme s’il flairait un danger. Il secoua la tête. Après avoir vidé son premier verre de whisky d’un coup, il se détendit. Il avait pensé ne pas venir accoster la jolie blonde, mais il avait craqué, comme toujours, et commençait à le regretté. Il n’avait jamais réussi à s’habituer au caractère des femmes méta humaines, avec leur grand air supérieur, comme si leur beauté leur permettait de tout avoir, de tout faire, même d’être impolie. Et Eugène détestait l’impolitesse. Mais il comprenait que Missa ne faisait que de l’humour, enfin, il s’en convainquit, car dans une situation où les hormones se font aussi puissante, un homme aime laisser de coté ses valeurs.

- Et bien, je ne voudrais pas frimer, mais j’en est vue d’avantage dans ma petite vie que bien des mercenaires plus expérimentés. Et de toute façons, je vous ai menti, nous n’avons jamais travaillé ensemble. Je me cherchais simplement une raison pour vous aborder. J’ai souvent entendu parler de vous par contres, nous avons des connaissances communes. Et nous nous sommes même vue à plusieurs reprise, mais vous ne m'avez jamais porter attention. Je n’ai jamais osé venir vous parlez. La beauté me rend nerveux voyez-vous. À moins que ce soit la grosseur des bras de votre petit ami...

Il reprit un autre verre de whisky, le vida d’un trait, et en remit une troisième fois dans son verre. Il espérait pouvoir conclure ce soir. Non seulement il pourrait dormir dans un lit confortable, mais il pourrait profiter un peu de la situation. Il était las de dormir dans les arbres et sa dernière conquête chez qui il habitait l’avait plaqué il y a deux semaines. Il se rappellerait toujours du papier qu’il avait trouvé à l’appartement que Tatiana et lui partageait : « Rends donc service à toutes les femmes du monde, disait le message qu’Eugène tenait alors à la main. Tranche-toi la gorge, sale menteur. » À côté du message, posé sur le parquet, Tatiana et ses acolytes, elle avait deux frères; sans doute étaient-ils venus l’aider à vider l’appartement, avaient laissé une petite pile bien nette de verre brisé, au cas où Eugène, ému par cette supplication, déciderait de mettre fin à sa vie sur-le-champ. C’est souvent ce qui arrivait lorsqu’on était volage. Il ne savait pas comment Tatiana avait découvert qu’il voyait d’autres femmes, mais il savait que maintenant il n’avait plus d’endroit où habiter, et il n’osait plus retourner chez Chacal depuis que la sœur de ce dernier était morte. Elle avait été une des rares femmes qu’il avait réellement aimées. Mais tout allait bien pour le moment, il ne s'était pas fait ridiculiser, elle ne s'était pas moqué de lui comme les 10 autres femmes qu'il avait approcher ce soir. La chance était peut-être de son coté.

- Dis donc, t'as pas l'air bien, ça va, s'empresse Missa de lui demander, une main sur sont avant bras. Et puis, vas-y molo sur le wisky, j'aimerais parler plus longtemps que 5 minutes...

Dès qu'il se rassoit, elle tire la dispandieuse bouteille d'alcohol vers elle et lui fait un jolie clin d'oeil. Tu sais dans ce métier faut savoir et si non faut apprendre à en prendre mon beau. Même au quotidien, quand tu te dis que tu vas aborder et cajoler la notoriété, faut savoir dealer avec les conséquences. Puis elle lui fait un clin d'oeil moqueur et aguicheur.

Elle fini sont verre de Phénix et en commande autres.

- Tiens, un pour toi... tu vas voir c'est un breuvage enflammé! Il faut m'excuser ça fait deux jours que je suis revenu d'un travaille assez hardu et élaboré.... et foutument long! Mais chiching... D'ailleurs à ce propos il faut que je trouves Glodie, se chuchotte-t-elle. Oui je te crois quand tu dis que tu en a vue des horreurs... J'espère qu'il me fera pas le coup de l'enfant pauvre et battu, se dit-elle...

- Je le chercherai plus tard ce Goldie. Dis-moi tu fais quoi de spécial? Et pour revenir à ma question, tu aimes les motos?

Prenant de plus en plus d’assurance, probablement grâce à l’alcool, Eugène approcha son tabouret de celui de Missa, l’œil pétillant de passion.

- Je suis écrivain en fait, mais disons que j’arrondie mes fin de mois de façons un peu spécial, si vous comprenez. Oui, vous comprenez fort probablement. Où ai-je la tête? Mais je m’égare, pardonnez moi. Alors donc, comme je le disais, je suis un écrivain. J’ai déjà deux livres qui on été publié et un troisième le sera très bientôt.

Eugène était très passionné d’écriture et tout être un t’en soit peu perspicace s’en rendrait compte en le voyant parler ainsi, le regard vif et passionné, le sourire aux lèvres.

- Mon premier était un roman psychologique, mélangeant l’absurde et la profondeur d’esprit. Il a eu un petit succès je dois dire, j’en suis plutôt fier. Le titre est : Comme un Mièvre Sourire de l’Âme. Mais mon second n’eu pas autant de succès, il faut dire que j’ai décidé d’essayer l’horreur, pour je ne sais quelle raison d’ailleurs. Mais bon, ce qui est fait et fait, et je ne vous direz pas le titre, de peur que vous ayez envie de le lire.

Il se ralluma une cigarette, repris délicatement la bouteille de Whisky des mains de Missa.

- Je ne fais pas vraiment d’argent avec l’écriture, mais j’adore ça. Mon éditeur à du s’en mettre plein les poches avec mon premier roman il faut dire. Mais bon. Oh la moto vous dites? Je ne sais pas conduire, disons que j’ai… d’autre moyen de locomotion. Ca fait tellement de bruit ces machines. Je connais monsieur Goldmos vous savez. J’ai souvent travaillé avec lui. En fait, souvent, c’est plutôt relatif, mais je le connais bien. Je me suis un peu retiré pour l’écriture de mon deuxième roman, alors ca fait un moment que je l’ai vue. Je ne dirais pas que je l’idolâtre, mais j’admire beaucoup cet homme.

Redoutant soudainement l’expression de Missa, il écrasa sa cigarette dans le verre vide le plus proche avant de continuer :

- Au fait, nous n’avons pas fait de présentation officiel. Je me nomme Eugène, Eugène Delacroix. Mais les gens dans le domaine où nous travaillons on pris l’habitude de m’appeler Raven.

Au loin, vous pouvez entendre les cris de gens en délire. Vous apercevez que les gens regarde vers la piste de danse, comme si quelque chose ou quelqu'un de célèbre y était. Vous ne savez pas vraiment ce qui se passe, mais un attroupement de jeunes demoiselles qui dancaient sur les enceintes sont maintenant en train d'encourager quiquonque se trouvant dans "L'arène". Lorsque le son de la musique se tut, les gens applaudirent et ils semblèrent se distancer pour faire un chemin. Les yeux avertis des amis de Goldmos le reconnurent, mais pour les autres, ils ne s'attendent surement pas à le voir habillé avec des pantalons de rue ainsi qu'un débardeur blanc et une chaine qui semblait être pendu à son cou. De toute évidence, il était là pour danser. Il se dirigea vers le bar, histoire de se désaltérer.

-Aleck, comme d'habitude, jus d'orange fraîchement pressé avec un peu de sel.

Eugène se retourna rapidement et scruta la piste de danse pour voir la cause de l’engouement des jeunes femmes. Lorsqu’il aperçu Goldmos, un sourire apparu sur son visage. Il se mit d’un bond en petit bonhomme sur son banc, se rassit normalement, agita la tête en tout sens, à la manière d’un oiseau craintif, puis redevint calme soudainement. Il était heureux de revoir Goldmos, mais craignait de le déranger, et puis il y avait sa futur conquête. Il espérait toujours pouvoir dormir dans un bon lit ce soir, et avoir une jolie poitrine comme oreiller n’était jamais désagréable. Il regarda Missa et attendit de voir sa réaction.

Les crient attirèrent une partie de l'attention de Missa pendant quelques secondes, puis, elle revint à Eugène.

- Bois le Phénix! Même si ça ne t'intéresse pas, je te ferai faire un tour de Ducati, ma moto, précisa-t-elle, un beau jour... Et puis t'es un auteur... dans les ombres... mmm, intéressant. Je santait bien que ton air aristocrate enjôleur était naturel, lance-t-elle accompagné d'un autre clin d'oeil.

Missa détourne sont regard vers Alec qui lui sourit de façon étrange. Ce dernier hoche légèrement la tête vers la droite en s'y dirigeant.

Prise par la curiosoté, elle lance un regard au dessus de l'épaule droite de son auteur.

Eugène peux soudainement voir des yeux ronds et brillant apparaitre sur le visage de la belle. Une expression inexplicable de joie. Elle met une main sur le genoux d'Eugène comme pour dire, attends-moi ne bouge surtout pas, je reviens, se lève et se précipite à la rencontre de Goldmos... Ou plutôt, surprend celui-ci avec une étreinte qu'il n'attendait vraiment pas! Elle le serre tellement fort que même de l'eau ne pourrait traverser entre les deux corps. Puis elle lâche un peu prise et se crie à elle même:

- Outch!! connasse! Sont bras droit longeant sont corps.

Elle se recule et lui fait face. Goldmos peut remarqué qu'elle porte un tissu au bras et peut aussi remarqué la joie dans sont visage.

- Goldie, je t'attendais, j'avais tellement hâte de te voir! Jouant avec sa subtilité elle ajoute, pas seulement pour mon bras... non vraiment, j'avais hâte de te voir mon Ami, tu m'as manqué...

Il semble à Goldmos que ces paroles sont des plus sincères.
Surpris ou non de ces paroles spontannées, surtout venant de sa part, elle attend sa réaction, un petit sourire aux lèvres. Jamais il ne l'avait vu dans cet état. Oh si! Une fois. Après qu'il lui eu sauvé la vie en la "remodelant"...

Elle reprend ses esprit et frontant sont épaule gauche sur celle de Goldie elle ajoute:

- Tu fais fureur! Elle est où ta copine? C'est impossible que tu n'es pas de copine, depuis le temps... regarde toi t'as l'air bien et en santé... raconte-moi tout!

D'où il est, il pourrait sembler à Eugène qu'il n'a plus aucune importance dans l'esprit de Missa.

Eugène se rapprocha mais resta à l’écart le temps que les deux amis finissent leur retrouvaille. Il regarda un peu autour de lui, cherchant un divertissement visuel quelconque en attendant. Il se fit une petite liste des femmes qu’il approcherait si Missa préférait finir sa soirée avec Goldmos et reporta son attention sur la jeune femme et leur ami commun. À les voir ainsi, il devint mélancolique. Il s’ennuyait de son ancien groupe de mercenaire: Chacal, Ivy, Chess, Rufus, Smiley et Yukki. Mais au moins il pouvait revoir Goldmos. Las d’attendre, il s’imposa dans les retrouvailles et serra la main à son vieil ami.

- Bonsoir Monsieur Goldmos, je suis heureux de vous revoir.

Goldmos ne s'attendant pas à ni voir Missa ni se faire accueillir comme il l'a fait laisse Missa déballer ce quelle avait à dire. Lorsqu'elle eut fini, elle cru voir apparaître une petite larme sur le coin gauche de son oeil. Cela faisait longtemps que la belle Missa et lui ne s'était pas vue et il avait presque oublier la douceur et la force de cette femme fatale. Il savait bien que Monsieur tout le monde ne pouvait l'approcher comme il le voulait. Aussi dangereuse que jolie, il se rappelait lui aussi beaucoup de missions passées ensemble dans des moments difficiles...

-Bien le bonjour, mais est-ce un nouveau tatoo que je vois? Et bien non, pas de copine encore, tu sais que je suis difficile d'accès et paranoïaque en dehors de ceux que je côtoient.

Goldmos se rappellait comment Arès avait réussie à l'humilier si facilement après une rencontre anodine avec une parfaite inconnue... parfaite dans tous les sens du termes. Depuis, il perdit confiance aux étrangers, se disant que sa réputation seul pouvait faire frémir et attirer les gens le voulant mort.

-Il y a cependant la petite Ivy qui vient souvent me voir et étudier avec moi, on s'amuse beaucoup. Et pour la santé, et bien j'ai pris des cours de breakdance qui m'ont aidé un peu à raffermir ces mucles de mages.

Goldmos fit un clin d'oeil à Missa. Voyant une main s'approcher de lui, il suivi le bras pour trouver son propriétaire en se demant Mais qui est-il? Il me connait pourtant.... son visage m'est familié

-Bonsoir Monsieur, désolé de me montrer un peu rude, mais je ne vous reconnais pas, pouvez-vous me dire si je vous ai déjà opéré?

Missa essai de cacher ses émotions et tout à coup, gesticule du bras gauche en montrant sont bandage.

- Un nouveau tattoo?! non j'en ai bien assez d'un au dos... Pour tout te dire, c'est une blessure assez inconfortable que je cache et j'espèrais que tu puisses m'aider! C'est un souvenir de mon dernier boulot... tu connais ça...

Puis elle entend le nom de Ivy et se souviens d'une petite japonaise assez excentique aux allures d'une petite sorcière tout droit sortie d'un manga..

- Oui la petite je l'ai déjà rencontré, je me souviens de sont air angélique... tellement mignonne et délicate. C'est ta protégé?! Elle en a de la chance! Puis Missa lui lance un clin d'oeil.

Voyant Eugène s'introduire elle s'éloigne un peu de Goldie et se place pour former un triangle.

- Oui c'est Eugène le beau parleur, je viens de faire sa connaissance... peut-être même ai-je déjà travaillé avec lui, mais tu connais ma mémoire! Il semble te connaitre lui en tout cas...

Puis elle fait 2 grands pas vers la droite et saisit le verre de Phénix qu'Eugène n'avait même pas eu le courage de goûter et le tant à Goldmos.

- Tiens, on trinque?? STP! Ajoute-t-elle avec un air irrésistible et suppliant. Tu peux te joindre a nous Eugène Delacroix, dit-elle avec un air mocoeur.

Les effets de l'alcohol se fesant quelque peut santir, Missa invite ses deux partenaires à aller s'assoir à une banquette.
Évidemment, aucune banquette de libre... Goldmos, qui la connais bien pourrait penser que très bientot, ils pourraient s'assoir à l'une d'elles.
Elle s'éloigne et s'appoche d'un groupe de 3 personnes d'un look commun à la rue et discute avec elles. À peine était-elle à leur côtés qu'ils lui laissairent la banquette.

Eugène fut un peu déçue de voir que Goldmos ne se souvenait pas de lui. Mais c'est vrai qu'il ne s'était pas vue souvent, seulement Goldmos avait laisser une très grande impression à Eugène alors il ne pouvait l'oublier.

- Je me nomme Eugène Delacroix, mais dans le domaine où nous travaillons l'on m'appelle Raven. Nous avons travailler quelques fois ensemble, et j'étais présent lorsque vous avez extériorisé votre rage grâce à un puissant élémentaire de feu lorsque votre maison avec été ravagé. Aussi, si cela peu aider votre mémoire, je suis le corbeau.

Voyant Missa s'éloigner et convaincre fort facilement de jeunes gens à leur ceder leur banquette. Il se dirigea vers celle-ci et pris place au coté de Missa, en acceptant volontier de goûter ce fameux pheonix.

Goldmos eut soudant un revivement de mémoire Le shapeshifter... mais biensûr. La poigné de main semblait plsu ferme et plus amical que la première, Eugène pouvait sentir une certaine confiance dans la "relation" qu'il venait de créer.

-Je suis vraiment désolé Eugène, il s'est passé tellement de chose depuis peu... surtout que je ne croyais plus vous revoir.Vous savez comme moi dans les ... affaires que nous faisons, il est très possible que nous nous rencontrions seulement une seul fois. Je ne peux pas me rappeler des gens avec je travail seulement quelque fois mais je dois avouer que vous avez une particularité très spécial qui me revient juste en tête.

Goldmos prit quelque seconde et scruta l'astral pour confirmer son souvenir. Maintenant que le tout était confirmer, il se sentait un peu moins perdu et moins stressé face à cette "étranger" qui le connaissait. Missa, quelque peu impatiente, s'incrusta dans la conversation tout de suite après:

-Hum hum, et c'est profond? Est-ce encore douloureux? Est-ce infecté? Je vais prendre quelque temps pour regarder les... "dégats". Goldmos fit un clin d'oeil.

Lorsque Missa lui tendit un verre d'alcohol, Goldmos la regarda avec un air de "Tu le sais très bien que je ne bois pas d'alcohol mais tu le sais aussi que si tu continu tu vas me faire craquer comme toujours", alors il repoussa le verre du revers de la main pour le diriger vers Eugène. Voyant déjà Eugène avec un autre verre, il le prit, mais sans plus. Lorsqu'il vit Missa faire de la place, il alla s'assoir près des deux autre, de façon à ce qu'il puisse parler et discuter avec les 2 personnes. Lorsqu'assis, il répondit à Missa:

-Et bien, ce n'est pas vraiment ma protéger, mais elle est si... angélique et pure que je ne peux pas lui refuser. Je me demande même pourquoi elle est dans les ombres... une vrai petite poupée. Elle semble si fragile et si vulnérable... jusqu'à ce qu'on la voit en action. Et elle apprend vite et elle s'instruit vraiment rapidement. Elle est presque aussi pire que moi. Goldmos fut un large sourire. Il sentit soudainement quelque tapotement sur son épaule, puis se retourna. Il vit quelques filles d'allure street en arrière de lui. Il leur parlait un peu, puis pris leurs numéros avec "promesse" de rappeler, puis revient à la conversation.

-Alors Eugène, que fais-tu de bon ces derniers temps?

mmm. un corbeau. Ok oui je vais le croire, il me semble avoir déjà rencontré un loup... se dit-elle.

Avant que Goldmos ne pose sa dernière question à Eugène, Missa dévisage les femmes qui se sont imposé et les aborde de façon très persuasive et directe:

- Merde les poufiasses! c'est une vielle chienne abandonné qui vous a elevé? Dégagez vous dérangez et vous.. dégager oui, dit-elle en se poincant le nez, il vous rappelera pas anyway! Il est trop bon pour vous!

Puis aussitôt elle reprend un allure décontracté, s'assure qu'Eugène la regarde et lui fait un clin d'oeil, regarde ensuite Goldmos et ajoute tout simplement sans s'inquièter de la fierté personelles des connasses en arrières plan:

- Oui... c'est une blessure assez profonde, j'ai tanté de me soigner moi même mais sans trop de succès alors ce serait vraiment gentil que tu me soigne, toi qui est expert en la matière!
Puis elle réfléchit en levant les yeux vers les stroboscopes.
Goldmos sans alors une jambe élancé se faufiler entre ses cuisses. Il peut voir la belle blonde se rouler une mèche de cheveux entre les doigts manucurés. De sont regard intense et de ses lèvres irrésistiblement bombées elle ajoute:

- Si tu veux un petit quelque chose en retour... un service que je pourrais te rendre...?

Quelques secondes passent, Missa attends sa réaction.

Goldmos eut un petit sursaut lorsqu'il sentit la jambe se faufiller entre ses cuisses. Il eut un moment de gêne lorsqu'elle scécifia le "service". Mais Goldmos se rappelait d'Alex... d'ailleur c'était quelque chose qui clochait dans sa tête, Missa ne tromperait jamais Alex. Elle ne voulait sûrement pas insinuer des services de ce genre. Il répondit, en reprenant ses esprits:

-Et bien, on pourra en reparler lorsque le moment sera venu, mais au fait comment va Alex? Toujours à rechercher des renards sur son terrain?

Missa peut déceller un certains malèse dans sa voix, si elle voulait savoir s'il la trouvait encore jolie, si il la désirait, si il avait des sentiments plus profond envers elle, elle eut sa réponse juste dans sa voix: Oui.

Quand le nom d'Alex fut prononcé, un regard plus nostalgique que triste de dessina au visage de Missa. (À noter que Dominic à fait Alex plaquer Missa, c'est ce qu'on m'a raconter.)

- Alex, je ne sais pas, tu l'as vue récemment? En tout cas... Ça m'étonne que tu sois pas au courant de notre rupture... à vrai dire du fait qu'il a mit un terme à nous. Probablement pour le mieux. Goldmos peux déceler un certain sentiment de regret ce temps mais qu'elle à belle et bien tourné la page. Qu'elle en est maintenant à un autre chapitre, voir un autre tome.
J'ai jamais été bien à l'aise dans un relation de couple. Mais anyway je veux pas vous ennuyer avec mes déboires amoureux. Puis, elle ajoute en caressant la table du bout des doigts en montant doucement sur sont verre:

- Je trouve normal de vouloir un certain réconfort, des bras, des mains... Elle prit une pause et ajouta, haaha désolé je fantasme. Contrairement à ses intentions premières, sa jambe se frottait toujours doucement entre les cuisses de Goldmos.

Elle prit une bonne gorgé de Phénix. Comme pour effacer ce désir de réconfort de ses pensés.

Goldmos, qui devrait connaître ses intentions, surtout un peu chaudasse, peut remarqué que Missa aurait peut-être besoin de se faire remettre à l'ordre un peu.

- Eugène, toi qui parle si bien, parle aller, raconte nous quelque chose. T'es auteur tu dois être bon pour raconter.

Goldmos voulant répondre un peu sur ce que Missa venait de dire, avant qu'Eugène ne puisse parler:

-Il est effectivement normal de vouloir des bras, des mains, un corps pour réconfort... cependant, il ne faut pas tout foutre en l'air pour panser une blessure, il faut de la passion, de l'engagement et aussi de la tendresse, pas seulement du "junk food" amoureux.

Goldmos attendit une réponse, fixant Missa droit dans les yeux, comme pour attendre une confirmation.

Carter se tenait debout contre un mur à quelques mettre a peine de la table de Goldmos. Celui ci ne l'avait pas encore repéré. Carter se demandait qui etaient les deux autres. Un vieil adage indien lui revenait en mémoire.

*Ne t'approches de l'inconnu que lorsque tu l'as cérné.*

C'etait peut etre pas indien apres tout, mais ca marchait terriblement bien.
Il observait la scène.
La bonde plantureuse était en train de chauffer le magicien.
Carter aurait payer cher pour pouvoir se la faire.
Mais c'était pas dans l'ordre du jour. C'etait, surement une amie de longue dâte. De parts ça façon de bouger, ça facon de parler. Elle devait surement être une adepte.
Quand à l'autre, il n' y avait rien à craindre dans son conportement. Mais quelque chose le pousser a se méfier de cet homme... Comme une méchante allérgie à quelque chose...

Il s'approcha vers la table dans la ligne de mire de Goldmos pour que celui ci le repère.

Missa se redresse le dos et reprend un peu de son sans:
- Ok tu fais allusion a moi avec ton "pansement de blessure"?? J'ai rien à panser sauf mon bras. C'est une belle métaphore ton "junk food".. mais tout dépend de ce que tu recherches dans le moment. J'ai rien a foutre en l'air de toute façon. Oh p-e ma vie, surtout dans la job que nous fesons... mais ça c'est un choix qu'on a fait. Au fait j'sais pas ce qui te met dans tout ces états, pourquoi tu me sors ta philosophie de l'amour parfait.. ? Avec tout le respect que je te dois, de nos jours, les intentions de chacuns sont différentes et sujet à interprétation. Désolé de te décevoir, mais tout ce charabia ça n'existe pas, et surtout... dans les ombres!
Missa n'était pas frustré, mais elle sentait qu'elle devait donner sont opinion. Elle pris sont verre et dit:
- Trinquons, trinquons à.... l'incertitude! Elle le cogna sur celui d'Eugène et celui de Goldie et pris une bonne gorgé.
Elle n'était pas une philosophe ni une personne très expérimenté à ce sujet, elle le savait bien. Elle était là pour s'amuser et de plus, elle était en bonne compagnie.
Une musique très enivrante à la basse prononcé la fit lever de son banc. Elle se tourna rapidement et ses longs cheveux dans les air firent un vent vanillé au visage de ses amis. Elle tandit ses deux mains, le bras droite timide et dit, affichant un grand sourire d'amusement:

- Qui m'aime me suive!

Goldmos sentit comme un couteau tourné dans le coeur. La réplique de Missa lui fit comprendre qu'il ne fallait faire d'allusion. En fait, Goldmos ne parlait pas vraiment de la vie de la jeune demoiselle, mais belle et bien de la sienne. Le seul refuge qui restait à Goldmos était dans l'intimité. Missa avait parfaitement raison de dire que de nos jours, surtout dans les ombres, tout est éphémère mais lui voulait se sentir en sécurité dans un domaine, l'amour. Il voulait vraiment trouver une personne pour qui sa présence faisait une différence, sur qui il pouvait compter et surtout sur qui il pouvait avoir des relations bien plus intime qu'avec une amie, on il ne pensa pas au sexe quoique c'est quelque chose qu'il n'avait pas eu depuis longtemps... depuis Sayana. Paradoxalement, Sayana fut "tuer" par Missa qui tentait de le séduire et qui, sans s'en rendre comte, venait de tuer la flamme qu'elle venait d'allumer. Il pensa Et bien, on s'en reparlera du service. Il décida de se lever et, au moment de suivre Missa, vit Carter sur le mur. Il fut tout d'abord surpris, puis heureux de le voir rétablie après la "petite" visite de Simus... Il fit signe a Missa qu'il allait les rejoindre puis se dirigea vers Carter. Il lui tendit la main avec un grand sourire :

-Salut vieille branche, comment vont les recherches sur le tatouage?

Carter serra la main de Goldmos.

- On a rien pour l'instant. Le decker que j'ai engagé s'enlise dans la matrice et me demande tout les jours d'augmenter son budget... Je crois qu'on a a faire à un gros poisson !

Carter n'en dis pas plus, ce n'était pas le lieu pour ça.

- Peut être veux tu que je te laisse avec tes amis. On en reparlera demain peut etre. Si on est encore en vie.

Carter en regardant les deux convives du magicien s'éloigner vers la piste se mit à penser à haute voix.

- Si le chaman loup est si dur a localiser m'est avis qu'on va avoir besoin de recrus... Va falloir se mettre a débaucher du monde!

-Le shaman loup?

Goldmos ne comprit plus rien

-Je croyais que tu m'avais dit que Simus n'était pas magiquement actif?

- Je ne pense pas qu'il soit magiquement actif, il a du bénéficier d'un appui. Un appui réellement puissant pour tous nous duper lorsqu'on l'avait entre nos mains. Maintenant ce n'est qu'une supposision, c'est mon bide et mon instinct que me disent qu'il n'est pas réellement ce qu'il dit être.
Après tout, au début je croyais que c 'était juste un clodo qui polluait les bancs du parc de bellevue. Pourtant, il a l'appui d'une milice armée...

Carter regarda autour de lui furtivement il vit missa au milieu de la piste.

- Ecoutes, il vaut mieux qu'on en parle ailleur... Et si la fille et le mec avec qui tu traines ce soir sont sûr et veulent un peu de blès pour combler le moi. Je pense qu'on aura besoin de soutient pour cette run. Alors tu peux les mettres au parfum si tu veux.

Au meme instant son portable vibra. D'un geste il s'escusa auprès de Goldmos. L'appel ne dura pas longtemps. Lorsqu'il racrocha, il souriait.

- On tient notre homme, le decker à réussi à filer le tatouage sur la matrice. Il me dit de venir le voir.

-Hum hum, il est certain que nous pouvons avoir besoin de puissance de feu et de plus, s'il n'est pas ce qu'il dit être, on va pouvoir s'amuser un peu avec quelqu'un qu'il ne croira pas ce qu'il va voir. Mais bref, on se donne un point de rendez-vous pour les explications?

Goldmos observa un peu la scène pour voir s'il n'y avait pas d'oreille indiscrète.