Cassos

Carter arriva devant le bordel. Il ne chercha meme pas a discuter avec le videur, il ne savait même pas s'il y en avait un. Il enfonca la porte avec un coup d'épaule, celle s'ouvrit sechement en claquant sur ses gonts.

Il repera kutt et alla fissa a sa rencontre

[color=darkgreen]- Ta patronne à a faire avec nous, vas la prévenir. Sinon, elle risque d'être bien surprise en voyant arriver une demi douzaine de flics et de runners frapper a sa porte.

Il se retourna vers Goldmos

- J'aimerai bien que tu lui expliques toi... Parce que si elle sait que c'est moi qui lui emmene toutes ses emmerdes elle serait capable de m'épimgler sur la porte d'entrée avec au tour du cou un panneau ou y aurait marqué un truc du genre "servez vous.".

[color:96cb=white:96cb]Carter avait dit ça sur un ton presque craintif. Quand elle etait en boule, elle lui foutait vraiment les jetons a zero.

Goldmos fut surpris quand même, il ne s'attendait pas à voir Carter s'abaisser à ce que ce soit Goldmos qui explique la situation, mais décida de dire, sur un ton moqueur:

-C'est ton idée de venir ici je te ferai remarquer, moi je nous ai rendu ici, maintenant que c'est toi qui nous a foutu dans la merde, c'est toi qui nous en sort.

Kutt, dans sa nonchalance habituelle, regarda les deux hommes passés devant lui et déblatérer en continuant à siroter son verre. Lorsqu’il remarque la panique sur leur visage, il devint livide et pâle. Il cracha par terre.

- Des flics? Des putains de flics?

Il couru immédiatement vers Boubou et lui parla un moment. Ce dernier se dirigea vers le deuxième étage en courant. Une minute plus tard à peine, Augure apparue dans l’escalier, souriante, calme, comme si elle passait une belle journée. Elle balaya la salle du regard un instant et se dirigea vers Carter et Goldmos.

- Bon… qu’est ce qui se passe ici?

Finit-elle par dire en croisant les bras.

Goldmos avait pris la peine, en attendant la présence d'augure, de regarder en astral, de lancer des sorts de détections d'hostilité et d'envoyer quelques esprits gardiens pour voir si on nous suivait. Tout était négatif, il avait réussis à les semer. Maintenant que lui était sûr qu'il n'y aurait pas de descente, reprit son souffle et dit calmement à Augure, tout en tenant encore le foutu sac dans ses mains:

-Et bien, c'est simple. On marchait dans une ruelle, j'ai reçu ce sac étrange, la police nous interpelle, on veut s'enfuir de la police, on se fait barrer la route par un gang de rue, on veut s'enfuir par la ruelle, ya un groupe de runneur qui veut nous tuer. On se demandait ou nous pourrions venir se terrer un instant alors Carter eut la brillante idée de venir ici.

Goldmos avais omis volontairement de dire qu'ils n'étaient plus suivi, il voulait la réaction des 2 autres.

- Tu la connais pas toi...

Carter s'alluma une cigarette *et merde...* il tournait en rond autour de Goldmos. A la maniere de coyote Hurlant pour la grand danse fantome. Mais sans la magie.
Il la vit arriver *et merde...*. Il savait deja qu'il allait passer un mauvais quart d'heure. Craintif il prit la parolle.

- Mimine... J'ai fais une boulette.

Il désigna du doigt Goldmos.

- Mais c'est lui qu'a pas laché le paquet...

Ce n'était pas du grand Carter qu'on avait ce soir. Il écouta Goldmos expliquer le probleme, il hochait bêtement la tete a tout ce qu'il disait.

- Et on c'est dit que... gentille, comprehensive et aimante comme tu l'es envers moi, ca te dérangerais pas de nous couvrir pour cette fois.

- Agissons rapidement alors. Vous avez deux choix, sortir d’ici immédiatement, et ne rien me devoir. Ou allez vous cacher dans mon sous-sol, et dépendamment du grabuge qu’il y aura ici, avoir une jolie et grande dette envers moi.

Elle regarda le sac que Goldmos tenait, un sourire s’afficha sur son visage.

- Bien sur, me donner ce sac pourrait peut-être régler tous vos problèmes aussi.

-Et bien, je ne sais pas pour toi Carter, mais je n'aimes pas avoir de dettes... donc si y'a pas de grabuge, quelle serait la dette? Et si y'a énormément de grabuge quelle serait la dette?

Goldmos riait intérieurement, c'était la première fois qu'il voyait Carter comme un jeunot devant sa mère. Mais il imaginait la suite avec Carter, si Goldmos décidait de partir et de laisser Carter s'endetter pour rien .

-Suivez-moi.

Elle se dirigea vers la porte du sous-sol, en parlant.

- Et bien, je ne vous cacherez pas que les habiletés de mon très cher Boubou ne sont pas assez puissante pour protéger magiquement un tel établissement comme sait le faire un grand mage comme vous. Je payerais le matériel nécessairement, naturellement. Mais s’il n’y a pas de grabuge, vous ne me devrez rien.

Elle éclata de rire en ouvrant la porte du sous-sol.

- Vous voyez? Je ne suis pas si chiante non?

D’après son expression faciale, il était évident qu’elle s’attendait à une réponse positive.

Regardant Carter, il ne voulu pas le faire trop "stressé" non plus. Il dit cependant à Augure:

-Et bien, très cher Augure, vous avez passez le test...

Carter n'était pas en état de réflechir

- Files lui le sac, de toute facon, on s'en fout de ce con de sac!

Carter était de plus en plus mal. Augure, l'ignorait carrément, son ton etait froid, sec et professionnel. C'était pas bon mais pas bon du tout.

- La dette, oh... cela peut aller de ta paire de shoes à ton ame. Ca differe selon ses besoins du moment...

Il regardait augure cherchant le moindre signe dans sa direction. Meme un regard furieux lui aurait remonté le moral. Mais se faire ignorer, cela ne présageait rien de bon

Il la suivit, en prenant bien soin de laisser Goldi passer devant lui...

- Ah tiens... t as changé la moquette ?

Son rire se répercuta dans l’escalier du sous-sol. Lorsqu’elle arriva en bas, elle se retourna vers Goldmos.

- Je passe le teste?

Elle pris un air sérieux, et pointa Goldmos.

- Vous ne me faite pas perdre mon temps j’espère?

Redevenant calme et souriante, elle les invita à prendre place dans le salon, qui était toujours aussi bordélique.

[Hors-Jeu: Pour une description plus détaillé, voir la section Description du Red Ribbons]

Goldmos savait bien que cette réaction était normale et pouvait porter à confusion. Il répondit avant que cela ne se déchaine:

-Et bien, non en fait vous venez de gagnez un contact. Ce que je veux dire par "vous avez passez le test" est que j'ai vérifié les alentours magiquement et astralement et nous ne sommes pas poursuivie. Je vous assure donc qu'il n'y aura pas de grabuge, et j'ai posté des esprits gardien à travers les votres pour m'en assurer. Nous n'avons besoin que d'un endroit tranquille pour un certains temps, le temps que la police débarque et fait s'enfuir tout le monde. Je voulais cependant, en même temps, vérifier votre attitude lorsque des gens sont dans le besoin. Si vous aviez voulu profiter de la situation, je ne vous aurais plus jamais fait confiance, mais vous avez été équitable, alors vous avez passez le test... contente?

Augure tentait de cacher sa joie, mais ne pu s’empêcher de sourire.

- Naturellement que je le suis.

Elle se dirigea vers le petit frigidaire et en sortie une bouteille où se trouvait un liquide ambré. Elle prit des verres dans un buffet et déposa le tout sur la longue table qui se trouvait dans la pièce.

- Du thé vert, quelqu’un en veux?

Elle versa du thé dans les verres sans attendre la réponse, elle prit place sur les genoux de Carter et l’embrassa avant de se retourner vers Goldmos.

- J’ai beaucoup de défaut, et le travail que je fais m’oblige souvent à les montrer, mais j’ai un bon fond. Hahaha!

Son rire de démente faisait contraste avec ses propos. Elle fixa le sac un moment et regarda Carter.

- Au point où vous en êtes, vous pourriez toujours regarder ce qu’il y a là dedans.

Goldmos eut un mouvement caractérisant quelqu'un qui venait de prendre conscience de quelque chose. Il est vrai qu'au point ou nous en sommes, nous pouvons tout au moins jeter un petit coup d'oeil... Goldmos ouvrit le sac, et dit:

-Et bien, des disques de donnés. Et un paquet en plus. Il doit y en avoir pour... disons 200 heures de visionnement, si ce sont des fichiers vidéos.

Goldmos n'étant pas vraiment familier avec les puces, les btl et les chips, il ne fit pas la différence entre tous ça. En réalité, il tenait sur lui: du BTL, du VX, des disques de donnés et des chips.

Carter savait que c'etait un piège, il le savait, il le sentait. Dès que Goldmos serait partit, il allait prendre un retour de manivelle en pleine poire.
Cela ne l'empecha pas, d'apprecier le geste. Et dans la même intervalle de se calmer un peu.
Comme honteux de son comportement, il se fit le plus discret possible, ne prenant pas par à la conversation. Il se contentait d'ecouter en caressant lentement le dos de l'elfe.

[CECI etait un délire, Carter ne sera plus jamais comme ca... LA HONTE]

Augure devint soudainement très excité et joyeuse, elle se dandinait sur les genoux de Carter et souriait grandement. Elle se leva et alla jeter un coup d’œil dans le sac.

- C’est intéressant… umm… je pourrais les lires, si vous me permettez. Mais j’aimerais demander une petite analyse à mon cher George, je ne veux pas me mettre du BTL dans le crâne.

-BTL? Qu'est-ce que c'est que ça? Et de toute façon, personnellement, je ne crois pas que cela nous soit très utile. Vous pouvez les gardez, avec tout ce que cela implique. Je ne crois pas que cela va nous être utile.

Il regarda l'elfe, il n'aimait pas traiter avec des choses dont il ne savait pas vraiment à quoi s'attendre. Biensûr, il pourrait y avoir de l'info intéressante, mais cela pourrait lui rapporter de gros ennuis. Si une goutte de sang à failli faire massacrer Carter, je n'imagine pas ce que serait un sac de disque... de BTL ou autre truc du genre.

- Pour aider votre culture général, du BTL, ou Better Then Life, pour dire le nom exacte, est une drogue très puissante et qui rend très, très accro. Et je déteste la drogue!

Elle chercha une cigarette dans l’appartement, et repris place sur les genoux de Carter avec le fameux sac. Sortant un téléphone de son manteau, elle composa rapidement un numéro.

- George, où es tu? Au deuxième étage?? Ah, peut importe, descend immédiatement!!!

Elle fouilla dans le sac et plaça sur la table les chips qui lui semblaient être du BTL.

- J'aimerais bien que vous restiez le temps que George entreprenne une première analyse. Si cela ne vous déranges pas. Qui sait, le contenu pourrait toujours vous intéressez. Mais bien sur, si vous avez mieux à faire...

Goldmos pensa. Ils étaient depuis seulement 5 minutes environ, les flics dans le coin arrive environ au moment ou on se parle, ils vont prendre des notes, des empreintes, des témoignages... ils en avaient pour au moins 30 minutes, si ce n'est plus. Il convint donc que rester encore quelques temps, environ 1 heure de plus, ne ferais pas de tord:

-Et bien, si vous m'offrez l'hopistalité je vais rester encore un peu de temps. Il prit la tasse de thé vert, et commença à boire.

Elle lui sourit, et retourna son attention vers le contenu du sac. Un bruit de porte annonça que George arrivait. Il portait un pantalon trop court et un gilet à affichage numérique, des codes binaires y défilait rapidement en spirales.

- Alors, c’est quoi le problème?

Augure se retourna vers lui, le regard furieux.

- Le premier problème est que tu n’es PAS supposé coucher avec mes filles!!

George se passa la main dans les cheveux, visiblement coupable, il avait une expression de chien battue. Augure redevint calme et l’invita à s’approcher en lui souriant tendrement.

- Le deuxième, et le plus important… c’est ceci!

Elle prit le sac et lui mis dans les mains.

- Je veux que tu m’analyses tout ça. Que tu enlèves les protections si il y en a, que tu élimines les virus, que tu me jettes le BTL et que tu me dises qu’est ce que c’est!

George regarda l’intérieure du sac et releva la tête rapidement, affichant un air frustré.

- Mais je vais en avoir pour des heures!! Tu as vue le nombre de chips qu’il y a la dedans?

Prenant un air théâtral, Augure se leva et sur un ton exaspéré, lui répondit :

- Commence par une analyse sommaire, et occupe toi des trucs qui semble intéressant en premier!

Résigné, George se dirigea vers sa chambre avec le sac. Augure soupira et se retourna vers Goldmos.

- Vous avez pu identifier le gang qui vous a attaqué?

Goldmos eut un regard stupéfait, il répondit:

-D'abord, je me fais jeter un sac dans les bras par un inconnu, ensuite, la police nous interpelle 3 secondes après, ensuite Carter fait des siennes et nous voilà parti, nous voyons donc ensuite un gang, on ne veut pas entrer dedans, on veut se faufiler, surtout qu'ils ont des armes, eux par contre je les ai vus, on va dans une ruelle pour éviter le trouble, et on tombe dans un plus grand trouble: une équipe de runneur avec un mage. Je n'ai pas remarqué les détails concernant la gang, j'étais trop occupé à sauvé mon jolie petit cul.

Goldmos semblait exaspéré. Il était très rarement vulgaire, mais semblait ne pas comprendre qu'Augure lui pose une question comme ça. Il rajouta sur un ton calme:

-De plus, même si j'avais eut le temps de regarder comme il le faut, je ne sais pas comment reconnaitre les gangs... sauf les plus grosses.

Augure n’était pas heureuse de se faire parler sur ce ton, mais avec son charme naturel, le cacha parfaitement.

- C’est plutôt facile, vous n’avez qu’à remarquer les couleurs principales qu’ils portent tous, et regarder s’ils ont un logo, un dessin. En fait, pour un identifier un gang, il faut seulement remarquer ce qu’ils portent tous. Et connaissant les gangs, j’aurais pu les identifier selon votre description, et ensuite appeler quelques contacts pour en apprendre plus sur toute cette scène et leur intervention. Mais puisque vous sauviez votre petit cul, je ne peux vous en vouloir de ne pouvoir me fournir cette petite information. De toute façons, peut-être que cela aurait mené à rien.

Elle afficha son plus beau sourire, il n’y avait aucun ton mauvais ou sarcastique dans ses paroles. Lorsqu’elle le voulait, elle arrivait vraiment à avoir l’air aimable et gentille. Il était difficile de croire qu’une telle femme pouvait travailler dans les ombres, car en se moment, elle avait l’air de la femme la plus gentille du monde. On en oubliait presque ces moments de folie. Elle voulait que Goldmos ait confiance en elle, qu’il croit qu’elle est la personne la plus loyale du monde. Après tout, un contact comme lui, ça ne courait pas les rues. Elle tenta de retenir un petit rire, trouvant drôle le jeu de mots. (Ca ne cour pas les rues…. Goldmos est un coureur des ombres, bon ok le jeu de mots est moche!)

[Hors-Jeu : si tu veux vraiment continuer à la trouver louche présentement, je peux faire un jet d’étiquette! Haha ^_^]

Goldmos compris la pointe qu'Augure avait eut du mal à digérer dans ses propos. Il avait, de façon sous-entendu, insulter Augure sans le vouloir. Il lui dit, pour se rattraper:

-Et bien, je ne voulais pas vous insultez non plus. C'est juste qu'ils m'ont pris par surprise et que j'ai agit comme un débutant... et j'en ai honte voilà. Bon maintenant ceci étant dit, peut-être que Carter lui à vu mieux que moi les couleurs que vous me parliez.

Goldmos se retourna vers Carter, qui était pratiquement caché en arrière d'Augure.

- Ils portaient un bandana orange et des habits noirs. Leur tatouage était un feu follet... Je crois qu'ils s'appellent les Halloweeners.

Carter connaissait assez bien le quartier. Une de ses planques était à Downtown. Ils se débrouillait toujours pour savoir le plus de choses possibles sur les gens qu'il allait cotoyer avant de prendre une piaule...

- J'aimerai autant mieux ne pas me frotter a Nightmare, si c'est bien cette gang...


L'elfe était toujours sur ses genoux. Etrangement son contact et la discution qu'ils avaient enchainé, l'avait calmé. Il était maintenant redevenu lui même.

- A ce que je sais, c'est une bande dont le business principal est la vente de BTL, l'horreur et les snuffs.

Il caressait toujours le dos de Augure, cela le rendait serein.

- Ce sont des brutus qui s'en prennent à n'importe qui en règle générale... Mais peut être que tu pourrais nous en dire plus sur eux.

Carter se demandait, si Augure allait lui en vouloir de lui avoir emmener toute cette merde devant son pallier.

[bon je sais pas si j'avais le droit d'indentifier la gang... si j'ai pas le droit vous pouvez effacer mon message sans probleme. A mardi]

Augure se retourna vers Carter.

- Je connais les halloweeners, et je les déteste! Haha! Slash, leur leader, est un versoniel fanatique.

Elle tourna la tête vers Goldmos.

- Vous vous excusez maintenant? J'espère bien que vous en avez honte! J’ignore comment les coureurs des ombres comme vous font pour survivre plus d’une semaine, disons même un an. Le problème avec les coureurs réputés, c’est justement qu’ils sont réputés. Vous n’êtes pas supposé être connu, vous n’êtes pas supposé faire partie du système. Mais entendre votre nom un peu partout, remarquer qu’on vous respectes et vous adores, tout ça vous montes franchement à la tête, et vous finissez par pensez que vous êtes égal aux arrangeurs, et parfois pire, aux johnson. Je sais que je ne suis pas votre arrangeuse, mais j’ai un pied dans le système des ombres moi. Les coureurs ne peuvent même pas se permettre de faire un pas de travers, car ces ainsi qu’ils sortiront les pieds devant. Je sais que la vie de coureurs des ombres est difficile, c’est ainsi que j’ai commencé, mais lorsque je vous poses une question, je me fou que votre vie ai été en danger, votre vie est en danger presque à tout les jours ! C’est votre travail, vous devriez le savoir ! Je m’attends seulement à me faire répondre poliment, comme je le fais avec vous.

Elle arrêta de parler un moment. Elle était très sereine, elle ne parlait pas sur un ton agressif, mais calme, voulant simplement rappeler des notions de base à ce coureur des ombres expérimenté. Mais c’était un sentimental, ça se voyait au premier coup d’oeil. Ce Goldmos avait des amis dans les ombres, il cherchait absolument des preuves de confiances avant de créer des liens professionnels avec des gens. Ce portrait très éloigné d’un coureur des ombres typiques la rendait perplexe, mais en même temps, il était si rare de voir des gens avec du cœur dans les ombres que ça la rendait heureuse.

- Mais ous savez, je ne suis moi-même pas parfaite. Regarder moi, mon attitude avec Carter n’est pas très professionnel, mais il a su faire la différence entre Augure l’elfe folle et Augure l’Arrangeuse. Tout ce que je vous demande, c’est du respect, non des excuses. Mais je les accepte et j'espère que notre relation ce poursuivras dans la confiance.

Elle se leva pour avoir les deux hommes devant elle.

- Pour ce qui es des « dommages collatéraux », je me demande si c’est une bonne chose de garder ce sac. Vous avez acquis quelque chose que vous n’auriez pas du. Après la petite analyse de George, j’ai bien l’intention de rendre ce sac à son propriétaire. Probablement que je pourrais gagner quelque chose contre ce geste charitable, et naturellement, si vous êtes prêt à travailler sur ce coup, vous aurez votre part du gâteau. Qu’est ce que vous en dites ?