50000 Nuyens ca ce refuse pas.

- La tempette sera là d'ici une demi heure... et comme je te l'ai dit, il n'y a rien ici qui pourrait nous servir pour se mettre à l'abri de la tempete. On va peut etre attraper une angine, mais on survivra.

Il se retourna

- On va quand meme faire demi tour. J'aimerai voir comment réagissent les zombies a cette tempete.

-Bof, probablement qu'ils vont faire comme moi: se protéger en astral. Pour le reste, ils s'en foutent. Mais bon, si tu veux absolument y retourner on peut y aller.

Goldmos mis la protection sur Carter et lui-même histoire de moins subir les revers de la magie. Les "vents" commençaient déjà à se lever.

Ils arriverent au dessus du camp de zombie quelques heures plus tard. Un torrent de pluie s'abattait sur l'ile. De l'eau jusqu'au genou ils avancaient cependant plus vite qu'en temps normal, l'eau s'abattait avec une telle intensité qu'elles s'occupait d'effacer leur trace.

Carter et goldmos regarderent le camp.

(je ne sais pas comment peuvent reagir des zombies, ou comment ils utilisent leur magie donc je te laisse decrire les choses.)

(Et bien, cela ne semble pas les affecter. Les êtres étant dedans les corps, ils sont moins vulnérable aux vents astraux. Il n'y a cependant plus d'esprit libre)

Ils rebrousserent chemin et se dirigerent vers la plage.

- Combien de temps cela va durer?

demanda t il en désignant la tempete

Goldmos essuyant la pluie torrentielle coulant sur son visage dit:

-Et bien, cela devrait durer environ 2 voir 3 heures maximum. Mais regarde bien, le coeur en astrale, c'est là que ce passe tout.

Goldmos indiqua du doigt la pointe de l'île. Carter pouvait voir des choses étranges arriver: du feux, des éclairs, du sable. Il pouvait voir pousser des arbres à des vitesses impressionnantes. Il était un peu loin pour pouvoir admirer toute la folie que pouvait causer le "coeur". Il n'allait cependant pas tarder à la voir à l'oeuvre.

Ils arreterent de marcher lorsqu'il trouverent un endroit suffisement dense en vegetation pour que la pluie soit plus agréable et moins devastatrice pour eux.

- bon alors... On attend que cela s'arrete et tu pars en astral chercher de l'aide... C'est bien ca ?

- Tres bien...

Ils n'avaient plus rien à faire... si ce n'est attendre.

Perdu dans ses songes, carter s'appercu de son manque de civisme.

-Ca t'arrives d'avoir des regrets ?

Goldmos se retourna vers Carter, un air d'intérogation sur le visage. N'étant pas sûr que cela sorte réellement de sa bouche et ayant le vent dans les oreilles, il demanda:

-Pardon? Qu'as-tu dis?

Goldmos fut un peu secouer, surtout venant de Carter. Il le regarda et dis:

-Et bien oui, parfois cela m'arrive. Cela m'arrive surtout lorsque je peux faire quelque chose et que je ne le fais pas pour m'apercevoir ensuite que j'aurais dû le faire.

Goldmos repensa à Sayana, lorsqu'il la vit mourir dans ses bras. Il ne pouvait pas faire grand chose, il avait fait ce qu'il devait faire mais cela ne fut pas assez. Il s'en voulait encore un peu. Il se trouvait lent à apprendre des nouveaux sorts de soins et surtout, de les apprendre avec assez de puissance pour qu'ils soient utile. Il avait déjà beaucoup sur les bras avec sa clinique et son groupe d'initiation. Le garage allait bien, plus facile de partir une 2 eme entreprises lorsqu'on apprend avec la première.

Goldmos ne savait pas trop où voulait en venir Carter, il lui demanda:

-Essais-tu de me dire quelque chose ou de me servir de psychologue?

Goldmos essayait de comprendre, sachant que Carter avait été habitué de faire route seule, mais lui voyait autrement:

-Je ne t'en tiendrai pas rigueur Carter mais sache ceci: je n'ai qu'une parole. Si je te dis que je vais te sortir de cette merde, je vais t'en sortir quitte a en payer de ma vie. C'est ma voie. Je suis une pierre et sur cette pierre tu peux bâtir une relation.

Goldmos n'était pas très croyant, mais il avait déjà lu la bible et avait trouvé cette phrase puissante, surtout lorsque Sayana mourut. Elle fut tellement puissante qu'elle fut sa balise pour se sortir de sa dépression: il allait être là pour les autres, peut importe ce qui allait arriver.

Goldmos ne voulait pas répliquer à ça. Il savait où il se situait, il savait qu'elle volonté il avait. Il savait son niveau d'intégrité. Il savait aussi qu'il ne lacherait jamais Carter, même au risque de sa vie. Il le fixa et dit:

-Crois ce que tu veux cela te regarde très cher.

Il lança alors 2 fois son sort de barrière physique. Si la tempête allait leur balancer des objets, ils seraient préparé. Carter pu voir aussi la puissance de Goldmos, sa barrière faisait 13 mètres de rayons... sans pluie.

- Tres bien... reveilles moi quand quelque chose se passe. Fit il simplement en prenant appuis sur un tronc d'arbre et en fermant les yeux

La tempête avait passée, non sans mal mais les défenses magique et physique de Goldmos avait facilité les choses. Il décida de lancé ses esprits veilleurs en attendant. Environ 3 heures après, il eut des nouvelles. Il secoua Carter.

-Carter, surveille mon corps, je reviens.

Carter avait toujours les bras croisés, il regardait le corp inerte de Goldmos. Par pure précaution, ne voulant pas revivre la scène qu'il avait vécu au par avant, il sortit son couteau et le planta a meme la terre devant lui. Si il revenait dans son corp et qu'il n'était plus lui il aurait plus de facilité a le maitriser avec ca.

Goldmos revient à lui pas très longtemps après, il avait un gros sourire:

-Et bien on a de la chance, c'est un bateau de croisière! Le capitaine veut bien nous embarquer si on pait pour le voyage... seulement 2000 nuyens.

Goldmos sortit un crédit tube de sa poche et dit:

-Tu ne demande pas d'avancement pour tes runs toi?

Il avait cependant quelque regret lorsqu'il dit cela. Le corps... il ne pouvait l'emporter. Il était facile de mentir dans un cas pareil: l'avion s'est écrasé et tout le monde est mort à cause d'une attaque de zombie... et nous n'avons pas retrouver le corps du pauvre à cause de l'éjection que cela à causé. Mais de façon éthique, il savait qu'il ne pourrait mentir. Il était sur un dilemme. Puisque c'est lui qui était chargé de la mission, il devait rendre des comptes.