Description

Contrairement au club Penumbra, le Dante refuse de se laisser perdre dans l’histoire des boîtes de nuit et fonctionne aussi fort si ce n’est pas plus qu’avant. La période du Crash a été difficile, personne ne veux révéler le nombre de morts qu’il y a eu lors de l’émeute, mais estimer le tout à plus d’une centaine serait réaliste. Mais le propriétaire, Dante Passini, est très obstiné. Il a réussi à reconstruire et rendre l’endroit encore mieux qu’avant en installant un réseau de RA state-of-the-art pour jouer avec l’image infernal du club.

Comme avant, les clients entre par le niveau supérieur, et seul ceux qui le mérite peuvent avoir accès aux sept étages inférieurs. L’étage final, nommé "Enfer" est hors limite à tous sauf pour les plus riches, les plus célèbres et pour ceux qui on les meilleurs connections. Un mélange de AR high-tech et de projecteurs holographiques permettent aux clients de Seattle de se mêler virtuellement à ceux des autres bars Infernos de Dante à Londre et Hong Kong, ce qui donne un gros party tricontinental. Les fuseaux horaires? Qui en a besoin lorsque les trois clubs fonctionnent 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Les étages possèdent toujours le fameux plancher en verre transparent qui permet de lorgner les sous-vêtements des petites dames en mini-jupes des étages au dessus de votre tête et la musique la plus chaude pour danser toute la nuit.

Il paraitrait que lors des rénovations, Dante aurait fait construire un étage sous l’Enfer. Mais vous avez très peu de chance voir aucune de croiser quelqu’un qui y est déjà allé. Aussi peut-être est-ce seulement une rumeur.

On ne voit plus Dante à l’Inferno de Seattle aussi souvent qu’avant, il préfère vraisemblablement trainer à son club de Londre et à laisser le club de Seattle au petit soin d’un elfe qui dit s’appeler "Alessio". Vous ne pouvez pas le manquer, il est toujours habillé impeccablement de vêtement griffé dernière mode, et sa tête chauve est tatoué de dessin animé montrant des visions de l’enfer, sans oublier ses yeux cybernétique d’un noir d’encre qui brillent de flammes vacillantes.